La pollution plastique est un fléau mondial grandissant affectant la vie marine, la santé humaine et contaminant les écosystèmes. À son échelle, le Québec peut-il contrer cette croissance néfaste pour notre environnement ? Les Québécois·es peuvent-ils venir à la rescousse des océans grâce à l’action, la mobilisation et l’innovation ? Réponse le 11 juillet dès 17h à l’espace de coworking Nouvelle Vague, situé aux abords du fleuve Saint-Laurent dans le Vieux-Port.
Comme le rappelle très justement RFI ici, “plus de 300 millions de tonnes de déchets plastiques sont produits chaque année. (…) Les océans contiendraient ainsi 150 millions de tonnes de plastique. Et si les tendances se confirment, il pourrait y avoir en 2050 dans les eaux du globe plus de plastique que de poissons.” Autant dire qu’une conférence sur le sujet s’impose.
Parmi les invités présents à Montréal ce 11 juillet, on retrouve Sophie Paradis, directrice Québec, WWF-Canada en français & WWF-Canada (entre autres), Alexis Eisenberg, fondateur et directeur général de Poly•Mer, Dre. Sarah-Jeanne Royer, océanographe et post-doctorante sur la dégradation du plastique et des microfibres, Samuel Duval et Jean-Félix Tremblay, ingénieurs mécaniques, co-fondateurs du projet Hoola One.
La discussion sera animée par Anne-marie Asselin, biologiste marine et fondatrice de L’Organisation Bleue • The Blue Organization. En cas de pluie l’événement sera reporté au vendredi 12 juillet.