« Fête libre, places illégales, arts nocturnes : quand la nuit réveille Montréal. Quel avenir pour la nuit montréalaise ? » Tel est l’intitulé de la conférence présentée par le média français Trax Magazine à Montréal le 14 mai prochain, co-organisée avec le Festival Chromatic.
Au programme des discussions : la nuit en tant qu’instant de création, de collaborations et de rencontres, mais aussi de moment privilégié où se manifestent différentes expressions culturelles. « À Montréal, le dialogue peine à naître entre des collectifs toujours plus créatifs et la Ville encore très frileuse vis-à-vis de ces initiatives. Des exemples internationaux, notamment à Paris, Berlin ou Amsterdam, démontrent pourtant qu’une nuit plus permissive peut aussi avoir des retombées positives en termes d’attractivité touristique, de prévention et développement économique », peut-on lire sur la description de l’événement.
La conférence donnera la parole à différents acteurs culturels de la nuit et de la Ville pour confronter les points de vue et débattre sur le futur de la vie nocturne montréalaise. Jean-Paul Deniaud, rédacteur en chef de Trax depuis 2014, sera présent ainsi que la DJ aussi directrice musicale de chez Never Apar, softcoresoft (Leticia Trandafir). Hervé « Coltan » Kalongo, directeur artistique et co-fondateur de Moonshine, ainsi que Bérénice Sensey, co-fondatrice d’OCTOV, se joindront également aux discussions.
Mais aussi…
D’autres intervenants spécialement venus de France seront aussi présents pour certaines conférences du Festival, à l’image d’Eugénie Lefebvre, directrice des Magasins Généraux qui présentera la structure francilienne et détaillera ses missions et enjeux le 14 mai à 16h à l’Usine C ; et Jacob Khrist, le photographe reporter qui collabore avec les médias français et internationaux depuis 2009 participera à la conférence sur « L’art comme catalyseur d’idées révolutionnaires et diffuseur de mémoires » le 13 mai à 16h à l’Usine C.
Côté expositions d’artistes frenchy, on vous conseille de ne pas manquer les oeuvres de Tabita Rezaire ni celles de Charline Dally. Vous comprendrez pourquoi.
