Audrey Sandrini, notre 86ème invitée, ne veut surtout pas comparer sa vie d’avant, sa vie d’expatriée à New York (Westchester), avec celle d’aujourd’hui, à Paris. Pour elle, il s’agit une nouvelle expérience. Et même si immanquablement les souvenirs refont surface, elle a fermé cette porte il y a environ 6 mois. Mais elle a laissé beaucoup derrière cette porte : des amis chers, deux enfants restés étudier au Canada et quelques drames familiaux vécus douloureusement du fait de l’éloignement.
Audrey Sandrini estime toutefois que son impatriation a été facile et sereine. Pour autant, le temps des questions est venu. Reprendre son activité d’avocate, réactiver ses réseaux, proposer ses services autour de ce métier qui a beaucoup évolué, elle se donne un an pour y réfléchir. Pour celle qui, jusqu’à présent, n’a agi que par choix, c’en est un nouveau qui se présente à elle désormais.