[Article sponsorisé] En tant qu’employeur français à l’étranger, il est probable que vous souhaitiez garantir à vos collaborateurs qui travaillent à l’étranger tous les avantages de la protection sociale « à la Française. » Parmi ses offres, la Caisse des Français de l’Étranger (CFE) dispose d’une gamme de services exclusivement dédiés aux employeurs et à leurs collaborateurs. À découvrir dans cet article ici.
En droit de la Sécurité sociale, ces deux termes correspondent à deux types de protection sociale entre lesquels l’employeur et le collaborateur peuvent choisir. Attention aux définitions ! Les termes « détachement » et « expatriation » n’ont pas la même signification en droit du travail et en droit de la Sécurité sociale.
Dans le monde de la protection sociale, c’est une garantie unique de savoir-faire et d’expérience. La plupart de ses administrateurs vivent et travaillent à l’étranger. Ils en connaissent donc les contraintes et parfois les dangers. Pour l’entreprise, disposer d’une seule caisse et d’une seule adresse, quel que soit le pays d’expatriation permet d’éviter tout problème si si l’expatrié change de pays au cours de sa mission, ou s’il fait venir sa famille ou si celle-ci doit rentrer en France. La CFE fonctionne dans un contexte très concurrentiel. Soumise aux lois du marché, elle présente de nombreux atouts pour les entreprises.
L’entreprise peut choisir un ou plusieurs de ces risques et cela pour l’ensemble de ses collaborateurs ou simplement une partie d’entre eux. À l’intérieur de chacun
des risques, il existe des options que l’on peut retenir, en accord avec l’expatrié, selon son activité et sa situation personnelle. L’entreprise peut ainsi obtenir une protection sociale sur mesure. Un service dédié aux entreprises permet de personnaliser les relations et ce dans un souci d’efficacité maximum.
Pour l’expatrié et sa famille, adhérer à la CFE veut dire avant tout garder le lien avec un système de protection sociale français :
La CFE met en place de nombreux dispositifs adaptés à la gestion de la mobilité internationale en entreprise :taux modulable en fonction du nombre de salariés en expatriation (adhérents) ;
La CFE est une assurance de base. Quel que soit le pays de résidence, elle rembourse dans la limite des tarifs de Sécurité sociale applicables en France, ce qui peut paraître insuffisant là où le coût des soins est élevé. Pour que l’entreprise puisse assurer à ses collaborateurs expatriés une protection aussi complète que celle dont ils bénéficiaient en France, la CFE a développé, avec de nombreux assureurs complémentaires, des accords qui permettent de simplifier les circuits – aussi bien administratifs que financiers – et de réduire les délais de règlement des prestations.
Avec la CFE, l’origine du contrat de travail ne constitue pas un critère d’adhésion. Ainsi, tout salarié peut adhérer : que ce soit avec un contrat de travail français ou un contrat local.
Tout salarié :
La CFE prend en charge les salariés :
L’entreprise mandataire de son personnel fait parvenir à la CFE, si possible avant le départ des expatriés :
Ils doivent ensuite être envoyés par mail à [email protected]
Il est important d’envoyer la demande le plus rapidement possible car la réception du bulletin détermine la date d’adhésion.
-> Maladie – Maternité – Invalidité : Toujours au 1er jour du mois civil suivant la réception de la demande. Coordination possible avec le régime général.
-> Accidents du travail – Maladies professionnelles : À tout moment (date du départ par exemple), à condition que la demande soit parvenue à temps à la CFE ; sinon la date d’adhésion est fixée au jour de réception du bulletin.
-> Vieillesse: Au 1er jour du trimestre civil en cours ou suivant la réception de la demande. Dans certains cas, possibilité de la fixer au 1er jour d’un mois civil.
Maladie
Elle coïncide avec la date d’adhésion, si celle-ci est demandée au plus tard dans les 3 mois qui suivent le départ à l’étranger, ou si elle fait suite à une période de détachement (le préciser lors de l’inscription à la CFE). Dans les autres cas, les prestations seront versées à compter du 1er jour du 4e mois, ou du 1er jour du 7e mois, en fonction de l’âge de l’adhérent.
Maternité
La date de la conception doit être postérieure à la date de l’adhésion. Le droit aux indemnités journalières est reconnu si 10 mois ont été cotisés à la date présumée de l’accouchement. Coordination possible avec le régime général. Pour les prestations maladie et les remboursements de soins maternité ou d’accouchement, des aménagements peuvent être admis dans certains cas particuliers.
Invalidité
Prise en charge de toute invalidité résultant d’une affection ayant débuté plus de 12 mois après l’adhésion CFE. Coordination possible avec le régime général si moins de 12 mois.
Accidents du travail – Maladies professionnelles
Pas de délai de carence. Droit immédiat aux prestations dès réception de la demande d’adhésion.
Pour en savoir plus sur les détails des différentes prestations ainsi que la cotisation des ayants-droits des salariés, rendez-vous sur la brochure explicative de la CFE à ce propos.
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