« Je serai heureuse de rentrer si j’ai un projet. » C’est ce que s’est dit Stéphanie Libreros lorsque l’impatriation s’est imposée à la famille il y a 18 mois. Un projet collectif puisque les enfants ont eu également leur mot à dire en proposant un retour en Europe qui passerait aussi par la découverte de plusieurs capitales.
Pour Stéphanie ce projet devait s’inscrire dans la durée. C’est ainsi qu’elle est passée d’ingénieure chez Total à artiste plasticienne, une nouvelle activité qu’elle est heureuse de poursuivre sous les couleurs de Paris. Un grand écart qui lui permet de dire qu’elle est sortie de cette impatriation, victorieuse.
Stéphanie est notre 67ème invitée de « Moi Impat ».