[Article sponsorisé] PVtistes, étudiants, professionnels, entrepreneurs, retraités ; plusieurs options permettent d’obtenir une résidence permanente en étant bien accompagné. Lesquelles ? C’est ce qu‘explique Me Patrice Brunet, un des avocats québécois les plus chevronnés en droit de l’immigration.
Même si en ce moment, les gros titres des médias font croire que les critères d’immigration au Québec vont se resserrer, les Français qui souhaitent décrocher une résidence permanente ne doivent pas paniquer. Après tout, en 2023, ont été recensés 52 800 résidents permanents et 174 200 résidents temporaires dans la province.
« L’immigration est un moteur de vitalité central pour l’économie et la croissance québécoise. Et la maîtrise de la langue française, un atout considérable pour tous les paliers gouvernementaux » confirme Me Patrice Brunet.
Le Permis Vacances-Travail (PVT) est, avec des études réalisées dans une école québécoise, le moyen le plus simple d’entrer au Québec pour les 18-35 ans, car ses critères sont faciles à rencontrer. Mais si vous souhaitez rester au-delà de la période de deux ans, les choses se corsent.
« Comme le PVT n’est pas renouvelable, je recommande, quelques mois avant sa date limite, d’engager une demande de permis dans une catégorie différente » explique Me Brunet. C’est justement à cette étape que beaucoup de PVtistes approchent son cabinet, car il existe une bonne soixantaine de permis différents, et les chances de refus sont élevées sans le bon accompagnement. « Nous pouvons déterminer le bon permis de travail pour la personne, comme l’EIMT, valide trois ans, et nous assurer que son dossier est complet – ce qui n’est pas une mince affaire » indique l’avocat.
Une fois le permis décroché, l’avocat inscrit ses clients au Programme de l’expérience québécoise (PEQ), qui réclame deux ans d’expérience de travail – ou un diplôme obtenu au Québec pour les étudiants, et un emploi au moment de la demande pour qu’elle soit éligible au Certificat de sélection du Québec (CSQ). « Cela prend à peu près six mois de traitement, mais la résidence permanente est dès lors à portée de main » affirme Me Brunet.
Le cabinet de Me Patrice Brunet accompagne bien plus que des PVtistes et des étudiants diplômés. Professionnels de tous âges, gens d’affaires, retraités, résidents de longue date du Québec n’ayant pas demandé leur citoyenneté ; chaque situation est analysée pour trouver une stratégie efficace menant à la résidence permanente.
« Par exemple, si une personne ne se qualifie pas pour le PEQ, nous pouvons faire pour elle une demande de validation d’une offre d’emploi permanent, basée sur des critères plus larges (niveau d’éducation, emploi, jeune famille, etc.), ou encore passer par le Programme canadien, à l’extérieur du Québec. Nous pouvons aussi inscrire des gens d’affaires ou des retraités au Programme des immigrants investisseurs et faire en sorte qu’ils ne décaissent pas la somme importante (2 millions de dollars) demandée à la base. Il y a toujours une manière de conduire nos clients vers le précieux sésame de la résidence permanente. » explique l’avocat.
Pour en savoir plus sur le cabinet de Me Brunet, visitez son site internet.
—
Note : les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de Maudits Français. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.