Tout est écrit dans le CV de Thierry Rodier. Chacune de ses envies et de ses passions dessine chacune des étapes de sa vie professionnelle. De la seule lecture de ses études transpire tout ce qu’il est devenu par la suite. Une école de commerce française pour se préparer à vendre. Supelec ensuite pour répondre aux questions que se pose déjà le futur ingénieur. Il traverse ensuite la Manche, avant de pousser jusqu’aux États-Unis, pour assurer le coup. Deux MBA, un à Londres et l’autre à l’université de Colombia, pour le jour où, devenu spécialiste de la fusion-acquisition, il finira par créer sa propre structure. Mission accomplie, son parcours reprend point par point tout ce qu’il a appris durant ces études. Chez EDF principalement, où il va passer près de quinze ans et glissera du statut de responsable des acquisitions à celui de vendeur d’électricité.
En 2014, Thierry Rodier devient entrepreneur en créant Cadogan Commodities, une société de courtage en matières premières énergétiques, spécialisée dans les produits verts, la biomasse, le GNL et le charbon. L’aboutissement d’une quête d’écologie qui l’anime depuis toujours. Mais la création de Cadogan, arrivée tardivement dans la carrière de celui qui s’était toujours rêvé entrepreneur, a surtout reposé sur les observations qu’il avait faites quand il était salarié. Aujourd’hui, Thierry Rodier est animé par l’envie de transmettre et d’aider ceux qui créent, à leur tour, leur entreprise.
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